La culture au coeur de notre projet


La culture au cœur du Projet

 

 

 

La culture en Tunisie a pâti largement de l’absence d’un programme directeur et d’objectifs cohérents capables d’épanouir la production culturelle de la stimuler afin de l’amener à un rayonnement national et international qui feraient de la Tunisie un pôle culturel singulier et servirait de moteur proportionnel pour les secteurs économiques dont notamment le tourisme et les biens de consommation.

 

Toute lecture objective de l’approche culturelle du pouvoir avant le 14 janvier 2011 peinerait à dégager une politique culturelle cohérente. L’Etat qui accaparait presque exclusivement la gestion de ce secteur avait abouti à réduire la culture en divertissement et l’artiste en assisté. Le soutien parcimonieux alloué aux créateurs était dispensé en fonction du degré d’allégeance exprimé au pouvoir en place. Il en découla une médiocrité générale et un repli manifeste des créateurs et leur marginalisation.

 

Cette légèreté de traitement du secteur culturel n’a épargné aucun relais de l’action culturelle. De la formation à la promotion, la chaîne culturelle en a été affectée. Les institutions et les manifestations culturelles son devenues par la force des choses un décor vide servant de faire valoir à la propagande du pouvoir qui s’acharnait à entretenir l’illusion d’une vie culturelle active.

 

La hausse décrétée du budget de la culture l’amenant à 1% du budget national est restée sans effets. Les différentes consultations sectorielles qui ont été décidées et qui ont été l’occasion de véritables états généraux de la culture sont restées lettres mortes. Elles se sont révélées être une grande imposture pour véhiculer un faux espoir de changement.

       

Une culture affranchie de toute tutelle

 

L’UPR considère que la culture est un des axes primordiaux de développement aux retombées multiples tant intrinsèques, sur le secteur même, qu’extrinsèque, sur les domaines et champs d’activité corollaires.

 

La culture ne saurait être rayonnante et harmonieuse que si elle exprime le profie identitaire tunisien. La richesse de notre culture puise son essence de notre diversité et ne saurait être exclusive ni parcellaire. Elle devrait être ouverte à toute forme de création et à toutes les approches tant traditionnelles qu’expérimentales.

 

L’UPR prône une culture gérée et initiée par des promoteurs indépendants, relevant des initiatives privées collectivités ou de la société civile.

 

L’état doit assumer la logistique et l’infrastructure nécessaire. Son rôle primordial et celui de facilitateur et non d’entrepreneur.                    

 

La Musique :

 

        Le secteur musical nécessite une intervention aux niveaux de ses différents relais.

 

La formation : confiée à des structures cataloguées comme des « conservatoires » alors qu’elles n’obéissent pas aux critères internationaux et sont au dessous de l’équipement et de la qualité de l’enseignement requis même pour des écoles de musique.

Le même constat s’applique aux instituts supérieurs de musique.

 

Nous proposons : l’école socle de l’action

 

-       la première formation musicale doit être assurée par les conservatoires actuels rebaptisés écoles de musique et par les écoles d’enseignement primaire qui assurent un programme d’enseignement musical similaire aux écoles de musique pour les élèves qui le souhaitent et ce après l’arrêt des cours ç-à-d à 16 heures.

 

Cet enseignement se poursuit au sein des établissements scolaires pendant les trois premières années de l’enseignement au collège et est soldé par un examen pour l’obtention du « diplôme de musique arabe ».

 

- L’enseignement se poursuit par quatre ans d’étude : trois années pour l’obtention de la médaille et une année préparatoire pour ceux qui souhaitent rejoindre les instituts supérieurs de musique.

 

- Les instituts supérieures de musique ne devraient être accessibles que sur un examen d’entrée requerrant un niveau justifiant des acquisitions de connaissance découlant de ce cursus.

Les différentes institutes doivent se spécialiser dans les différents champs et spécialités de la pratique musicale.

 

        L’événementiel :

         

        Celui-ci doit être régit selon L’UPR, par deux principes de base :

 

        1/ la priorité absolue donné aux tunisiens obéissant au quota de 80% c’est la discrimination nationale.

        2/ la culture citoyenne, celui que bénéficié à tous les tunisiens indépendamment de leur implantation géographique.

 

1°/ La discrimination positive nationale :

        Les artistes tunisiens doivent constituer l’essentiel de toute manifestation culturelle. Un quota de 80% est alloué aux artistes tunisiens qui doivent également bénéficier de 80% des cachets alloués.

 

2°/ La culture citoyenne :

        Toute manifestation à caractère international ou national doit être montée sous forme de tournée sur le territoire national afin de permettre à tous les tunisiens d’en bénéficier quelque soit leurs lieux d’implantation.

 

3°/ Rôle de l’Etat :

        L’Etat doit assurer pour tout les événements un appoint logistique quand il lui est demandé et un soutien promotionnel approprié soit directement soit à travers des fournisseurs de service nationaux. Les salles et lieux de représentation doivent être gracieusement mis à la disposition des artistes.

 

4°/ les exigences esthétiques :

        La scène nationale doit être ouverte à toutes les formes d’expressions. Toute discrimination esthétique est à bannir. Les pratiques devraient être diversifiées et ouvertes à tous les courants des plus traditionnels à l’avant-garde expérimentale.

 

5°/ Encourager les tremplins pour les jeunes et multiplier leurs programmations en avant première.

 

 

Le Financement :

 

1-   le sponsoring :

Il est à bannir tout intermédiaire entre le promoteur artistique et la source du financement. Le budget promotionnel de toute les entreprises doit obligatoirement allouer une quota par de 25 % à la promotion culturelle.

2-   le mécénat :

Les donations pour la culture doit être encouragée en avalisant un abattement fiscal de 100% sur toutes les sommes versées pour les actions culturelles.

3-   les collectivités locales :

Doivent réserver 20% de leur budget de développement aux activités culturelles.

4- Autoriser la création de fondation pour les arts et l’affranceur fiscalement.

 

Avantages Fiscaux et facilité bancaires

 

1/ les projets culturels doivent bénéficier outre de la franchise douanière pour le matériel technique requiers à leur réalisation d’une exonération des charges sociales pendant les cinq premières années. Les crédits bancaires qui leurs sont alloués ne doivent être accordés à un taux n’exécutant pas le TMM+1% avec une franchise de remboursement les deux premières années.

 

2/ Tout renouvellement ne extension d’un projet qui a fait la preuve de sa fonctionnalité et de son rendorment sevrait être reconduit selon les mêmes termes.

 

Les droits d’auteurs

 

L’événementiel, les médias et touts utilisations du produit culturel doit être sujets à une redevance de droits d’auteurs tel que stipulé par la loin.

 

Des structures dirigées par un conseil d’administration composé d’artistes élus et assisté par des techniciens choisis par ses soins, veillera à l’acquittement de ces droits et à leurs répartitions entre les membres associés. Ou la rétribution des organismes étrangers apparentés.

 

L’imposition d’une taxe à l’entrée des supporte des produits culturels importés et la rétribution des droits d’auteurs aux artistes étrangers

 

Devraient constituer un frein à la consommation de la production culturelle étrangère au profit du produit culturel tunisien.

 

La spécialisation de l’événementiel de nature à fidéliser le public et à diversifier la pratique est une orientation qui gagnerait à être encouragée.

 

Les intermédiaires culturels et éditeurs :

 

Les agences de promotion artistiques doivent être encouragées en révisant les conditions d’attributions des licences vers un assouplissement des garanties matérielles requises contre une exigence d’une formation artistique créant ainsi opportunistes de création d’emplois pour les diplômes du secteur.

 

Les prestations de service des intermédiaires doivent être encouragés à promouvoir le produit culturel tunisien hors des frontières et ce en accordant un abattement fiscal pour toute opération étrangère portant sur des artistes tunisiens à la hauteur de 50% du montant des cachets rapatriés.

 

L’édition :

 

L’édition musicale ou livresque doivent bénéficier d’une acquisition d’office de l’Etat de 1000 exemplaires qui étofferons les bibliothèques, et les phonétiques nationales et une partie sera acquise par le ministère des affaires étrangères qui se chargera de les offrir à travers ses représentations.

 

Le piratage devra être sévèrement réprimé par des lois dissuasives.

Le matériel et le papier devant servir à l’impression du livre ou de disque devra être exonèré de toute taxe douanière.

 

Les revenus rapatriés de la vente de produits culturels tunisiens à l’étranger bénéficieront d’un abattement fiscal de 50%.

 

L’usage du papier recyclé pour l’édition devra être vivement encouragé.

 

Les Médias :

 

Les médias tunisiens doivent être sensibilisés à la nécessité d’accompagner la création artistique tunisienne et d’en favoriser la diffusion. Un espace conséquent devant être accordé aux heures de grande audience.

 

La culture support promotionnel du tourisme :

 

Le fond actuellement alloué à la promotion touristique de 10 million de dinars est largement insuffisant pour promouvoir ce secteur par les supports médiatiques usuels et les compagnes classiques.

 

Nous appelons à se servir de la création artistique contemporaine et traditionnelle pour promouvoir ce secteur en organisant des tournées internationales musicales, théâtrales, des expositions de pièce d’art ou de foires du livre pour mettre en valeur le pays et ses richesses culturelles.

 

Les mêmes procédés pouvant être adoptés par certaines industries manufacturières ou production artisanales particulièrement à l’habillement.

 

Le transport aérien :

 

La promotion du produit culturel tunisien hors de nos frontières appelle un soutien de Tunis air qui pourra accorder selon ses disponibilités des gratuités ou un tarif préférentiel pris en charge par l’Etat en cas d’opérations promotionnelles sectorielles, des déplacements des artistes à l’étranger. Ces déplacements devant être dûment prouvées et approuvés par le ministère de la culture.

 

L’archéologie :

 

La Tunisie regorge de sites archéologiques à l’abondon qui gagneraient à être revalorisés par des fouilles intensives et exhaustives menées par des équipes nationales et doublées au besoin de missions étrangères.

 

La réhabilitation de ces sites entrera dans le cadre de circuits touristiques culturels aux multiples retombées économiques et bénéfices sur les régions.

 

Certains de ces sites peuvent être candidats à un classement au patrimoine universel et bénéficier d’un financement de l’UNESCO.

 

Fouilles intensives et étendues impliquant des diplômes en histoire et géographie après une formation appropriée.

L’accès à l’emploi a été une des revendications majeurs de la révolution Tunisienne.

 

L’état endémique du sous-emploi en Tunisie ne pouvait indifinement s’installer sans susciter un ras le sol général qui s’est traduit par le soulèvement général du 14 janvier.

 

        En l’absence d’une politique de l’emploi cohérente avec de profondes restructurations touchant à la fois l’éducation et la formation d’une part et les leviers de l’économie d’autre part, les différents replâtrages opérés ont laissés filer les chiffres du chômage, su sous-emploi et des emplois précaires.

 

        L’emploi est aujourd’hui la priorité des prévôtés pour L’UPR, un levier majeur pour associer la citoyenneté, consolider la dignité national et édifier la fierté de l’appartenance à la Tunisie.

 

        Nous sommes acculés à résorber notre solde de chômage et pourvoir au 87000 demandeurs annuels d’emploi.

 

        C’est un challenge vitale pour la Tunisie dont dépendra la statilité et la pérennité de notre société.

 

        ARTISANAT

 

Innover ou Périr

 

 

        Il fau arrêter de penser le secteur de l’artisanat entant qu’activité parallèle et entant que parent pauvre de l’activité industrielle. Si l’industrie offre des avantages immédiats de gains, de productivité et de rentabilité, elle engendre aussi des méfaits dans la destruction des ressources, la pollution, la dégradation de l’activité humaine réduite à un accessoire de la machine.

        Le secteur de l’artisanat constitue quand à lui un champ de valorisation du patrimoine socioculturel générant une activité économique importante, peut-être moins visible, mais qui n’en est pas moins réelle.

 

        L’UPR propose que :

 

-       l’université doit jouer un rôle très important pour donner une formation plus large moins axée sur le métier seulement. Elle doit former des esprits libres, capables de créer et sauvegarder le patrimoine en remontant à ses origines. C’est « L’archéologie des métiers ».

-       L’université doit ouvrir les métiers sur les technologies nouvelles et décrypter l’évolution des besoins de la société.

-       Rompre avec le « secret artisanal » qui a souvent causé la perte de pans entiers de savoir faire.

-       Multiplier les micro et moyen crédits en adoptant la fiscalité et organiser les droits d’auteurs et le commerce équitable.

-       Favoriser la formation du secteur en réseaux qui formeront de réelles entreprises artisanales.

-       Raviver les compétences dans les viviers « dormants » (Ghar el Melh, Kairouan, Séjnène…) en favorisant un accompagnement éclairé et en évitant les dons qui ne mènent qu’à la passivité et la soumission.

-       Un décloisonnement entre les notions de recherche, de création, de formation, de production et de diffusion.

-       Passer du designer à l’artisan, puis au consommateur par :

§ L’existence de bureaux de designers.

§ L’existence de structures.

Artisanales capables de production en série.

-       Création d’un arsenal juridique régissant la relation entre les différentes parties.

 

Améliorer le statut Social de l’artiste

 

 

        La précarité de la condition de vie occasionnée par l’exercice exclusif du métier d’artiste décourage un large pan de créateurs à s’y consacrer exclusivement. Le statut social étant dans notre société hélées corrélé au statu matériel il en découle une dépriciatation et parfois un dénigrement de ce corps de métier.

 

        Cette situation est pour L’UPR intolérable et impose une révision urgente du statut de l’artiste principalement en instaurant.

 

        Le « statut de créateur » au terme des conditions suivants :

 

-       métiers du spectacle :

Artiste ayant justifié depuis 3 ans d’une activité artistique en représentation ou répétition pendant la moitié de l’année.

 

-       arts plastiqués :

Artistes ayant justifié pendant 3 ans de suite d’une exposition annuelle avec 50% de nouvelles œuvres.

 

-       Ecrivains :

Ayant édité au moins 5 ouvrages et cumulé 10.000 exemplaires vendus et éditant un ouvrage tous les deux ans.

Les bénéficiaires de ce statut recevront un salaire mensuel de trois fois de SMIG sur la moitié de l’année.

 

Financé par la retenue de 15% opérée à la source des contrats de droits de vente des œuvres et par les caisses des droits d’autres.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le numérique – un support culturel à définir

 

 

 

        Le développement du numérique comme en support culturel largement utilisé particulièrement pour véhiculer le téléchargement appelle, l’instauration d’une législation régulatrice pensée et mise en place en concertation avec les déférentes parties impliquées, créateurs, éditeurs, intermédiaire et consommateurs.    

 

         

 

 

 

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’UPR propose de :

 

-       contourner l’exiguïté du marché du livre par une large diffusion internationale à travers une association des éditeurs tunisiens.

-       Associer les écrivains tunisiens à touts les opérations de promotion touristiques à l’étranger.

-       Inciter les médias à consacrer davantage d’espace aux heures de grande écoute à l’actualité livresque.

-       Consolider le réseau de distributeur local et centraliser les commandes dans l’association des éditeurs.

-       Ecourter les délais d’édition

-       Unifier les rémunérations des auteurs à 15% perçus d’avance et en espèce.

-       Compresser les coûts de l’édition en intensifiant le recours au papier recyclé.

-       Promouvoir la lecture au sein des établissement scolaires à travers des bibliothèques régulièrement fourniers.

-       Sensibiliser les familles à l’intérêt de la lecture.

 

 

 

Le Théâtre …. Miroir de la vie

 

 

        Le théâtre a longtemps été un secteur virant quasi-exclusivement des subventions conditionnées de l’Etat.

 

 

L’UPR propose de :

 

-       suspendre le précédé de visa auquel sont soumis les pièces de théâtre après visualisation de la commission d’orientation.

-       Affranchir les subventions de toute condition d’attribution.

-       Généraliser la subvention à touts les troupes professionnelles et de soumettre celles des troupes amateurs à un comité d’experts élus par leurs paires à parité de professionnels et d’amateurs.

-       Porter la subvention à 70% du coût de la pièce plafonné à 100 mille dinars.

-       Accorder à toute pièce un budget de diffusion de 50% de son montant de subvention libérale au prorata des gouverneras visités sur la base des 26 existant.

-       Couvrir les charges promotionnelles de touts les pièces lors de leur lancement par un affichage urbain.

-       Offrir gracieusement la logistique matérielle et les salles de spectacle public.

-       Consacrer une soirée hebdomadaire à la retransmission télévisuelle sur une chaîne publique d’une pièce de théâtre.  

 

 

 

Cinéma

De l’image à l’économie

 

 

        Le cinéma tunisien à traversé le siècle sans trouver ses marques. Toute de financement, de formation et d’une stratégie clairement ordonnée, il est resté tributaire des demis publiques et d’une assistance étrangère parcimonieuse. Il convient aujourd’hui de revoir les fondements de son financement et de sa promotion.

 

L’UPR propose de :

 

 

-       Assurer le risque encouru pour les financiers privés après étude du dossier et de se porter garent en cas d’échec commercial.

-       Assister les promoteurs pour un plan promotionnel local agressif.

-       Soutenir les opérations promotionnelles à l’étranger dont le transport aérien.

-       Acheter systématiquement des droits de diffusion du film dans l’année qui suit dans la télévision nationale.

-       Assurer et exiger une diffusion sur tout le territoire national du filon à sa sortie.

-       Conditionner la diffusion du film tunisien à l’étranger à l’importation de films étrangers auprès des distributeurs étrangers.

-       Développer la culture cinéphile au sein des établissements scolaires par le biais des clubs de cinéphiles.

-       Suspendre toute TVA sur l’activité cinématographique nationale ou internationale en Tunisie.

-       Accorder gratuitement les terrains en possession de l’Etat en vu de l’édification de salles de cinéma.

-       Relever la participation de l’Etat au financement des films à 50% du budget pour les longs métrages et 80% par les courts métrages.

-       Confier à une commission de professionnels élus la discision d’avaliser le financement des films.

 

 

 

 

 

FOIRES CULTURELLES

 

 

        Les foires et manifestations culturelles destinées aux professionnels constituent le marché de l’art. C’est une plateforme promotionnelle aux retombées inestimables quand elles sont bien conduites.

 

L’UPR propose de :

 

-       les diversifier autant que possible.

-       En confier la gestion et l’organisation à des privés selon un cahier de charge bien défini.

-       Y accorder des tarifs préférentiels aux exposants tunisiens de 50% moins cher.

-       Organiser une au moins annuellement par secteur d’activité.

-       Inviter le WONEX à un partenariat pour une foire musicale Afrique – Moyen-Orient établi en Tunisie.    

 

 

 

 

 

Média …. Soutien et véhicule de la création culturelle

 

 

        Il convient d’inviter les médias à jouer pleinement leur rôle aux côtés des créateurs tunisiens. La voix de l’artiste tunisien ne saurait parvenir au public dans sa plénitude sans le soutien éclairé des médias.

 

L’UPR propose de :

 

-       Ouvrier les médias nationaux publics et privés à la production artistique nationale avec une discrimination positive assurée à hauteur de 80% de leur programmation culturelle.

-       Consacrer les heurs de grandes audiences aux tunisiens.

-       Couvrir l’actualité culturelle nationale sur tout le territoire tunisien.

-       Eviter la discrimination esthétique de la production culturelle tunisienne.